mardi 4 mai 2010

la transition



Coucou à tous,

alors oui oui, je sais, je suis un peu longue à la reprise...

Mais en fait, je n'ai pas vraiment chômé ces 10 derniers jours. Après le loong trajet Toronto-Montréal-Genève, puis Genève-Paris, me voilà de retour!

Je vous passe des détails de mes 5 jours-marathon à paris. Bon OK, je sens que ça vous intéresse, alors dans les grandes lignes: retrouver mes vêtements d'été, ranger mes vêtements d'hiver, perdre mon Stéthoscope, acheter un stéthoscope, retrouver une blouse de Saint-Louis, acheter des prises électriques Sud-Africaines, faire faire mon permis de conduire international, et bien sûr déjeuner/prendre le café/le thé/diner/prendre un verre avec le plus de gens possible!



Vendredi soir, c'est re-le départ. Si le trajet jusque Toronto m'avait paru un peu long, je peux vous dire que j'ai senti passer le Paris-Doha, puis Doha-Johannesbourg, puis Johannesbourg-Cape Town.

Pour une fois, j'ai testé une compagnie que je ne connaissais pas du tout: Qatar Airways.

Pour ceux qui ne savent même pas ce qu'est le Qatar, gratuit pour vous:(et si, moi je connaissais déjà, j'ai une cousine là-bas!)



ça touche l'Arabie Saoudite (comme ça vous imaginez un peu l'aéroport de Doha, ambiance Tintin au Pays de l'Or noir).
J'aurais bien pris des photos, mais j'ai pas trop osé. De toutes façons, entre 6h et 7h heure locale (je ne veux même pas savoir ce que ça faisait en heure française), j'étais un peu décalquée.

Qatar airways, c'est pas de la petite compagnie (comprenez: c'est pas Air Canada!). Les Hôtesses ont plutôt la classe, et sont très discrètes. En première, il y a des bouquets de fleurs. Et puis on vole dans un A 340.
J'ai quand même eu une petite frayeur quand je me suis fait réveiller, comme le reste des passagers, par de petites turbulences et l'hôtesse qui courrait littéralement comme une dératée entre les sièges en hurlant "seatbelt please! seatbelt please!".
En fait, on allait atterir, et personne n'est mort, donc c'était peut être pas la peine d'être aussi alarmiste.


A Cape Town, Paul et Barbara m'attendent à l'aéroport. C'est un couple d'anglais installé en Afrique du Sud depuis une quarantaine d'années, et ils logent régulièrement des étudiants étrangers venant faire un stage au Hatter Institute (là où je vais, vous l'aurez compris).

Il n'y a pas de décalage Horaire entre Paris et le Cap en été, et pourtant je suis complètement crevée.

1 commentaire:

  1. j'ADORE la photo de ta mère dans le salon !!! hahaha^^ JO

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